Pour les hommes et les femmes politiques, le vivre ensemble et la
discrétion signifient certainement exclure une partie de la population
notamment la fraction la plus vulnérable, les femmes musulmanes.
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Ce sont toujours, effectivement, les femmes qui trinquent. Sur la place Tahrir, après l’éviction de Morsi, quand les islamistes manifestaient pour son retour, qui mettait-on au premier rang, pour le cas où les forces de l’ordre feraient usage de balles réelles ? Les femmes et les enfants. Cela présente un double avantage : les premières balles se trouvent arrêtées, et les courageux jihadistes qui se tiennent un peu en arrière sont relativement préservés. Les Occidentaux, bizarrement, sont plus émus par la mort des femmes et des enfants que par celle des hommes. C’est qu’une femme, en Occident, vaut autant qu’un homme. Dans l’islam, une femme, on le voit bien par la législation coranique touchant à l’héritage, ce n’est que la moitié d’un homme et il ne faut pas être un grand mathématicien pour comprendre que quand on tue deux femmes, on n’a tué qu’un seul musulman.
Plus tard à Gaza, l’armée israélienne prévenait les populations civiles des bombardements imminents sur quelques sites stratégiques. Le Hamas, très courageusement terré à dix pieds sous terre, poussait donc sur les toits en terrasses, et exactement pour les mêmes raisons, les femmes et les enfants. Le bouclier humain a encore été utilisé récemment : les jihadistes de l’Etat coranique ne quittent pas seuls les villages encerclés qu’ils ont sauvagement occupés durant des mois, ils réquisitionnent les voitures et emmènent des habitants avec eux. Si on bombarde, il faudra qu’on tue des civils, et cela fait toujours un très mauvais effet sur l’opinion occidentale.
En France actuellement, c’est les femmes qu’on oblige à brandir les drapeaux de l’islam le plus criminel. Les imams terrés au fond de leurs mosquées, s’exprimant en arabe et tolérés par un gouvernement socialiste collabo par tradition (les pleins pouvoirs à Pétain en juillet 40 ont été votés par une majorité de la même couleur), ne prennent pas beaucoup de risques. Ils préfèrent imposer aux femmes le sale boulot de la propagande et de la provocation au contact des « koufar ». Si quelques unes pouvaient même se faire agresser ! Quelle bénédiction, pour l’islam conquérant. Enfin, des martys, et une « islamophobie » qui cesserait d’être un fantasme.
Malheureusement, ce que les Français éprouvent pour ces pauvres femmes odieusement manipulées par des lâches et qui ne comprennent pas vraiment ce qui leur arrive, c’est surtout l’immense pitié qu’on éprouve pour toutes les victimes de la bêtise totalitaire. Les vrais responsables sont ailleurs, et l’auteur de cet article en fait partie.