@alinea
Virer les politiques, oui évidemment, mais pas en votant pour d’autres, en les flinguant !
Et tous !
le vous dans « que vous élisez », s’adressait au collectif, pas à vous personnellement
Si j’avais écrit en anglais ça aurait donné un truc du genre « these bastards people vote for,.... »(où « people » peut être trduit par le collectif « vous ».......)
Ne prenez pas tout au premier degré....
La françafrique.....revoyez la notion, vous maîtrisez très mal, vous confondez tout !
Vous n’êtes peut-être pas bien pensante, soit ! En tout cas à vous lire, c’est ce que je ressens, et il est encore permis de se tromper sur un ressenti non ?
Ok donc vous n’êtes pas bien-pensante...admettons le comme un postulat, toutefois, dès le début de votre texte, vous dites bien que vous vous adressez peut-être à vos amis gauchistes non ?
Vous l’avez écrit me trompe-je ?
Donc je peux logiquement en déduire que vous êtes une sensibilité de gauche, et ayant un peu beaucoup pratiqué cette engeance, je peux vous dire que la bien-pensance est comme une seconde nature de la sensibilité de gauche !
Un peu comme une personne ne peut renier la couleur de ses yeux où celle de sa peau vous voyez ?
Voyez, moi par exemple, je suis un réac, un facho (Marine pour moi, est une mollassonne, entourée d’un troupeau de tantes...je ne voterai jamais pour ces nazes), je ne suis pas bien-pensant, puisque je suis partisan d’une sérieuse reprise en main des choses, par les citoyens, où les emmerdeurs en tout genre de ce pays doivent être contraints de moins la ramener, de se casser (pour les bi-nationaux par exemple), ou de disparaître !
On a assez tortillé du fion pour chier dans ce pays depuis des années, on a vu où ça nous mène, donc autant rectifier le tir, et si les sensibilités de gauche se sentent trop atteintes, qu’elles fassent une petite marche blanche avec des bougies, ça les calmera, et si vraiment c’est pas suffisant, qu’elles demandent asile politique à un pays doux, calme, plein de sérénité et de lumière....j’sais pas si elles vont trouver, mais ce n’est pas mon problème !
Adishatz
H/