@Ben Schott
« petit incendie », « questions malsaines » : Désolé, mais je trouve que le procédé dialectique a un peu de mal à cacher la faiblesse de l’argumentation.
Un petit incendie de bureau, c’est quelque chose de circonscrit, ce qui n’est pas le cas ici. Que le bâtiment soit construit en 1984 n’a pas d’incidence. C’est la structure métallique de l’immeuble qui est ici en cause. Aux USA, on n’utilise pas les structure en béton comme en France. Dans ce type d’incendie, le bâtiment est refroidi par les pompiers pour ne pas fragiliser la structure, mais dans le cas présent, il étaient ailleurs ou ils n’avaient plus d’eau, et la température à l’intérieur du bâtiment peut atteindre les température où les aciers perdent leur résistance. L’acier est fragilisé à partir d’une température entre 450 et 800° selon les qualités d’acier. De plus les normes de résistance à l’incendie sont calculées pour une durée permettant normalement l’extinction. Les matériaux isolants en tiennent compte. Ici l’incendie a duré plusieurs heures et personne ne pouvait garantir la tenue du bâtiment dans ces conditions.
Et pour la chute libre, consultez la vidéo. Si nous observons le toit du bâtiment, nous voyons qu’il s’effondre par l’intérieur en commençant par un côté et se propageant sur l’ensemble de la structure. La façade, plus froide, s’effondre ensuite, effectivement assez rapidement, mais il n’y a plus rien pour la retenir. Tout ceux qui ont assisté à une destruction contrôlée savent que les explosions sont très sonores et ne passent pas inaperçues.