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Commentaire de njama

sur Les ombres du 11 septembre


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njama njama 13 septembre 2016 08:04

@philouie
Operation Aphrodite
« En vue de leur mission finale, plusieurs vieux B-17 furent dépouillés de tout leur armement et aussi de toute autre masse non essentielle (blindage, supports de bombe, émetteur-récepteur, sièges, etc.), ce qui réduisit la masse du bombardier d’environ 12 000 livres (5 450 kg). Les avions dépouillés furent ensuite transformés en drone équipés d’un système de téléguidage et reçurent une charge d’explosif d’environ 8 200 kg. Ainsi en théorie, l’explosion résultante serait colossale et ce, dans un rayon d’au moins 6 miles (10 km). »

des avions allégés d’une partie de leur masse comme des avions commerciaux transformés en cargos vidés de tout ce qu’ils contenaient , ce qui leur aurait permis d’atteindre une vitesse supérieure à leur vitesse théorique maxi de vol
intéressant !

car parmi les ombres du 9/11 les vitesses d’impact sur les tours, vitesses rapportées par l’agence indépendante National Transport Safety Board (NTSB) pour ces deux aéronefs sont supérieures aux vitesses que peuvent atteindre, même en piqué, ces modèles de Boeing.

Un directeur de vol de la NASA confirme que la vitesse des avions utilisés le 11/9 pose un grave problème dont personne ne parle.

rédigé par Robert Balsamo, paru sur le site des Pilotes pour la Vérité sur le 11/9 le 22 juin 2010

De la responsabilité d’expliquer une invraisemblance aéronautique

Dwain Deets
Centre de recherche NASA Dryden Flight Research Center (haut-dirigeant – à la retraite)
AIAA chercheur associé (Associate Fellow)

"L’avion est le UA 175, un Boeing 767-200, juste avant son crash dans la Tour 2 du World Trade Center. Après analyse des données radars, le National Transportation and Safety Board (NTSB) a annoncé que la vitesse au sol juste avant l’impact était de 510 nœuds [944 km/h – NdT]. C’est largement au-delà de la vitesse maximale qui est de 360 nœuds [666 km/h – NdT] et la vitesse de plongée maximale qui est de 410 nœuds [760 km/h]. Selon moi les possibilités sont les suivantes :
1) Ce n’était pas un 767-200
2) Les données radars ont été corrompues d’une manière ou d’une autre
3) L’analyse du NTSB est erronée
4) Ou bien le 767 a volé bien au-delà de son « domaine de vol » (flight envelope), est resté contrôlable, et a réussi à percuter une cible relativement petite.

Quelle organisation porte la plus grande responsabilité dans la reconnaissance de l’énormité du problème ? Le NTSB, la NASA, Boeing ou l’AIAA ? Des ingénieurs ont-ils écrit à ce sujet sans que l’AIAA ou la NASA ne publient leurs articles ? Ou bien la responsabilité éthique réside-t-elle non pas au niveau des organisations, mais à celui des différents ingénieurs en aéronautique. Les ingénieurs ont-ils juste détourné les yeux et ignoré ces problèmes ?"


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