@Yaurrick

Est ce qu’elle enviait le sort des noirs aux états unis ?
Est ce qu’elle aurait préféré choisir entre une Norvège social démocrate ou un pays d’Amérique du sud avec une dictature capitaliste ?
Est ce qu’elle enviait le sort des travailleurs du Bangladesh, pays n’ayant jamais connu de politique aux visées collectivistes ?

Ben oui à faire une comparaison valable autant le faire avec des situations où le bas de l’échelle n’a jamais ( ou trés peu ) été exposé aux horribles politiques collectivistes, sociales, avec en plus un code du travail comme carcan.

Mais qu’est ce qui avait caractérisé les politiques des pays occidentaux après la guerre avant la crise de 1975 ? des politiques social démocrates, des politiques sociales inspirées d’idéologies collectivistes.
C’est ce qui a fait que la vie dans les pays occidentaux était beaucoup meilleure.
Car les capitalistes n’avaient peur que d’une seule chose : que les pays de l’est puisse servir de modèle attractif pour les travailleurs, s’il n’y avait pas de protection sociale et de protection du travail. Les 30 glorieuses sont le règne des politiques égalitaires au sein de l’occident, où la richesse des pays est a mieux répartie au sein des populations.

D’autre part, quels sont ces pays collectivistes où c’est une minorité qui bénéficient des faveurs du régime, contrôlait l’économie, etc.... ?
Drôle de pays collectivistes au fond, une fois sorti de la propagande.

Un pays qui donne dans l’abondance pour une minorité tandis que le reste vit dans le besoin, n’est pas un pays collectiviste.

Un pays collectiviste réparti les ressources en fonctions des besoins des gens, et non uniquement en fonction des intérêts des élites (même si c’est un parti qui porte le nom de communiste).

Sinon la situation actuelle n’est pas due au collectivisme, puisque celui ci a grandement amélioré la vie des occidentaux, mais bien au néolibéralisme qui est entrain de détruire les traces de collectivisme dans les pays occidentaux , au nom de dogmes libéraux. Ce qui fait que la situation de beaucoup s’est dégradée.