@Thierry SALADIN bonjour,
Comme on se retrouve.

Vous utilisateur de l’esperanto et moi de l’anglais comme langue de transition.
Cela n’a rien à voir avec un manque de courage « pour eux » (eux que vous devriez définir).
Non la langue internationale n’est pas l’esperanto.
L’esperanto n’a pas été conçue par Zamenhof pour l’être puisqu’il s’est limité au langues européennes..
Si l’esperanto l’est peut-être international en France, elle ne l’est pas dans beaucoup d’autres pays où on parle globish.
Je me souviens vous me mettiez à l’épreuve en me disant qu’à Bruxelles, il y avait beaucoup d’affiches en anglais.
Vous aviez raison, comme il y en a en néerlandais (ou en flamand).
Essayez de vous faire engager à Bruxelles et dites, je ne connais pas l’anglais, mais je connais l’esperanto et vous verrez la moue dubitative de la préposée à l’engagement.
L’anglais national et tout le Commonwealth, ce n’est pas rien...
Quel est le pourcentage des pages en anglais sur Internet ?
C’est ça qui fait l’internationalité.
Mais je suis d’accord qu’il faut soutenir le français.
La langue en a bien besoin aujourd’hui, alors que du temps de Voltaire, (peut-être à cause de lui), le français était parlé dans l’Europe entière.
Le français est la langue de la diplomatie au vu du nombre de finesses, de synonymes.
L’anglais est la langue orientée vers le commerce.
Qu’est-ce qui marche le mieux ?
La diplomatie ou le commerce ?