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Les Traités européens ont supprimé toutes les régulations antérieures qui protégeaient les entreprises et les emplois ; qui permettaient d’emprunter à taux 0% à la Banque de France etc, pour ouvrir la France à la mondialisation des échanges, et au « capitalisme du désastre », comme l’appelle Naomi Klein.
L’Union européenne n’est rien d’autre qu’une colonie de l’ Empire américain, avec Merkel comme cheval de Troie
Cf l’ Alliance germano américaine pour le 21e siècle". La Commission européenne et la BCE prennent leurs ordres au FMI, à Washington et à Wall Street.
Dans un système colonial, les Présidents sont des larbins, des gouverneurs de la province France, des marionnettes qui appliquent des décisions prises ailleurs.
Voici les passages clés, par lesquels la
Commission européenne dicte à notre gouvernement fantoche ce que doit
être la politique de l’emploi en France :
« • Maintenir les réductions du coût du
travail découlant du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi et
du pacte de responsabilité et de solidarité, notamment en les mettant
en œuvre comme prévu en 2016 ; évaluer l’efficacité de ces dispositifs en
tenant compte des rigidités du marché du travail et du marché des
produits ; réformer, en concertation avec les partenaires sociaux et
conformément aux pratiques nationales, le processus de formation des
salaires pour que ceux-ci évoluent au même rythme que la productivité ;
veiller à ce que les évolutions du salaire minimum soient compatibles
avec les objectifs de promotion de l’emploi et de la compétitivité ; »
« • Réformer le droit du travail afin
d’inciter davantage les employeurs à embaucher en contrats à durée
indéterminée ; faciliter, aux niveaux des entreprises et des branches,
les dérogations aux dispositions juridiques générales, notamment en ce
qui concerne l’organisation du temps de travail ; réformer la loi
portant création des accords de maintien de l’emploi d’ici à la fin de
2015 en vue d’accroître leur utilisation par les entreprises ;
entreprendre, en concertation avec les partenaires sociaux et
conformément aux pratiques nationales, une réforme du système
d’assurance chômage afin d’en rétablir la soutenabilité budgétaire et
d’encourager davantage le retour au travail (dégressivité des
allocations). »