Que vous dire....C’est le propre de l’interventionnisme d’état qui crée la pénurie.
Le marché des capitaux d’investissement est de moins en moins un marché libre. C’est justement les « régulations » qui sont les causes de la demande de rendement.
Les prélèvements des taxations fiscales et sociales sans cesse plus élevées des rendements depuis les 30 glorieuses, conjugué à l’état dispendieux qui a favorisé le marché en direction des rendements d’obligation d’état pour ses gabegies clientélistes, au dépens de l’investissement productif a modifié le marché.
Les entreprises face à la pénurie de capital risque causé par la régulation interventionniste de l’état sont obligés de donner des rendements élevés pour les attirer.
Logique !
Diminuez les taxes et prélèvements sociaux et refaites en un marché libre, vous recréerez l’attirance vers l’investissement productif et donc plus besoin de donner de forts rendements quand les gens se battent pour investir.
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La « régulation » que vous décrivez sans cesse est en fait un mot hérétique à sens contraire, car c’est une « dérégulation » du marché libre.
En vertus de la « théorie de l’asymétrie d’information » la planification (régulation) est toujours un échec.
Comme tous les échecs socialistes, ou Keynésiens seul le marché libre est a même de gérer les informations qu’il est impossible de faire par la planification.
Seul le marché libre capitaliste est logique et indestructible.
Et les marchés planifiés ou régulés s’écroulent car il introduisent des effets pervers invisibles au présent qui se retrouvent pire au futur......
Et les économistes que vous lisez sont à 90% des universitaires, qui n’auront aucun Nobel. Pour prétendre à disposer d’étudiants et de classes intéressantes, vos économistes Keynésiens doivent sortir une idéologie conforme à leur employeur, l’état, ne pas cracher dans sa gamelle et diriger leurs études sur la promotion de l’étatisme, sous peine d’avoir du mal a émerger.
Quand à mes « théories dépassées » le dernier Nobel Tirole, décrit exactement dans son livre ces économistes qui sont plus présent dans les médias que déposer des thèses dans les revues internationales. Il en fait un chapitre tout entier...