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Commentaire de Christian Labrune

sur Moi, Président, je ne devrais pas dire ça !


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Christian Labrune Christian Labrune 15 octobre 2016 12:05

Non Monsieur Labrune, nos malheurs commencent en 69 avec Pompidou et sa loi de 73, continuent avec Giscard en 74

@Hector
Je n’ai jamais eu beaucoup de sympathie pour ces deux-là, mais Pompidou aura quand même très bien su résoudre, et sans trop de casse, la crise de 68. Il sera mort trop tôt pour qu’on puisse vraiment porter un jugement définitif sur ses entreprises. Je vous accorde cependant qu’on s’engageait déjà sur une bien mauvaise pente, et qu’on n’était déjà plus plus très loin d’abdiquer la puissance nationale au profit de ce je-ne-sais-quoi qui ne tarderait pas à devenir l’Europe allemande.

Mitterrand, c’est autre chose, c’est constamment la démission la plus lâche, et la collaboration généralisée avec le pire. Hollande osait encore se réclamer de cette vieille ganache, en 2012. Hier, ces salauds de socialistes, après s’être ridiculisés au début de l’été en envisageant de contresigner une résolution négationniste de l’UNESCO à propos du Mont du Temple à Jérusalem, et après avoir dû manger leur chapeau devant la représentation nationale, n’auront même pas eu ce minimum de courage qui leur aurait imposé de passer d’une approbation imbécile et criminelle à une franche désapprobation. Ils se seront contentés de s’abstenir. Ils nous déshonorent.

La nouvelle bibliothèque nationale porte le nom d’un ancien collabo. C’est sidérant. Et comme si cela ne suffisait pas, il a même une avenue près de la Seine. RIen n’est encore fait pour nettoyer ces sales déjections de l’Histoire. Notre pays ressemble au Titanic après la rencontre de l’iceberg.


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