Pourquoi s’occuper de cette crise politique qui est la suite de la
mondialisation en voulant changer la constitution ?
Cela serait, comme d’habitude, s’occuper des effets de cette crise et
non pas de la cause.
La cause est simple, la
Vième est pour un pays ayant sa souveraineté nationale et
depuis l’U.E. nous ne l’avons plus.
80 % des lois nous viennent de Bruxelles et les 1.000 parlementaires (avec les avantages de la noblesse) ne servent que de
décor « démocratique ». Quant aux gouvernements, ils sont composés de
plus en plus de young leaders formés à la FAF.en plus d’être au GODF, GLDF et pour les
hauts gradés dans des Ur loges.
http://www.movimentoroosevelt.com/news/per-dipartimento/movimento-roosevelt/franc-maconnerie-livre-choc-du-grand-maitre-italien-gioele-magaldi-la-decouverte-des-ur-loges.html
Les directives à suivre sont celles de :
CFR, Bilderberg,
Davos, Trilatérale, Ur Loge, French-American Foundation (Young
Leaders), FMI, ONU, OTAN, OMC, OMS pour continuer de vivre dans ce monde
unipolaire.
Cette réalité est occultée et ce n’est pas du « complotisme ».
Même un socialiste comme Mitterand l’a dit comme indiqué dans votre
article. Dans un entretien du vendredi 28 octobre 2005 réalisé par Hernando
Calvo Ospina avec Danielle Mitterand et il n’est pas le seul :
« pourquoi,
maintenant que tu en as le pouvoir ne fais-tu pas ce que tu avais promis ? »
« il me répondait qu’il n’avait pas le pouvoir
d’affronter la Banque
Mondiale, le capitalisme, le néo-libéralisme. Qu’il avait
gagné un gouvernement mais non pas le pouvoir. (...) en France on élit et les élus
font des lois qu’ils n’ont jamais proposées, et dont nous n’avons jamais voulu ».
Il en est ainsi depuis Pompidou et ne pas s’en rendre compte pour 2017
en faisant passer un PS/UDI/LR ne fera que rendre cette situation politique
toujours plus irréversible.
Le problème majeur n’est pas la constitution mais ceux que nous mettons
au pouvoir.
http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2011/11/23/2645072_liesi-quand-danielle-mitterrand-avoue-que-le-chef-de-l-etat-n-a-pas-le-pouvoir.html