@Arthaud
Bonjour,
L’article que vous mentionnez a effectivement été beaucoup lu et
partagé. Numéro 10 au palmarès des articles les plus lus sur
Agoravox
depuis 1 an et dans le top 500 (sur plus de 106.900 articles)
depuis la création du site en mars 2005. Plus de 500 partages
Facebook. Cela ne serait pas possible sans vous et tous les lecteurs qui
me
font confiance. Je les en remercie.
Mes analyses qui
recueillent à chaque publication suffrages et partages en nombre semblent légitimer mes propos.
Je ne m’intéresse pas aux personnes qui cherchent la
confrontation,
le conflit et jouent les victimes lorsque la modération élimine
méthodiquement, et en toute cohérence avec la Charte du site, leurs
messages orduriers.Toute discussion avec ces fauteurs de trouble est
vouée à l’échec. Je le sais, j’ai déjà tenté d’avoir une discussion avec
eux dans le passé, cela dérape toujours et je finis par recevoir
quantité de critiques infondées quand ce ne sont pas des torrents
d’injures et de propos diffamatoires qui agacent tout le monde pour
rester poli.
Par rapport à l’inimitié que l’on pourrait me prêter à l’encontre
des propriétaires, il n’en est rien. Je n’aime pas les abus chez
les propriétaires sans scrupule, comme j’abhorre les abus
chez les locataires indélicats. Rien d’autre. J’essaie simplement
de remettre l’église au milieu du village. Cette part infime d’abus de
quelques uns, dans les deux camps, exacerbe inutilement les tensions.
Lorsque la relation opère en bonne intelligence, chacun, propriétaire
comme locataire, y
trouve son compte. Au-delà de ce positionnement clivant par
nature, j’essaie simplement de démontrer la folie qui s’est emparée d’un
marché qui, fondamentalement, n’en est pas un puisque se loger
décemment relève des droits élémentaires de tout être humain. Lorsque
j’emploie l’expression « marché immobilier », je le fais uniquement par
commodité rédactionnelle. Qui peut décemment me dire que les dérives de
prix propres à l’immobilier n’ont pas un impact économique et social
catastrophique notamment, mais pas seulement, sur des pans entiers de
l’économie productive (les PME) qui ferment boutique ou luttent pour
leur survie parce que leurs clients n’ont plus d’argent une fois
acquitté loyer ou crédit titanesque ? Doctrine largement reprise par des
économistes et professionnels de l’immobilier qui trouvent peut-être
grâce aux yeux de mes détracteurs.
Ce que vous signalez est
malheureux. Ce n’est pas parce que nous
écrivons des articles (d’ailleurs, chapeau pour votre
référencement Google qui récompense les longues heures de travail
nécessaires à la rédaction d’un article), qui
peuvent ne pas plaire, que nous devons subir les manquements aux
règles élémentaires de civilité et de courtoisie.
Merci en tout cas pour vos messages toujours bienveillants.
Bien cordialement,