@guld
Si vous lisez l’article et les références bibliographiques citées à l’appui des démonstrations qu’il contient, vous comprendrez que vous êtes totalement hors-sujet en parlant ici de « se baser sur Freud pour expliquer ce qu’est l’autisme » ou « se baser sur une thèse psychanalytique pour expliquer ce qu’est l’autisme » .
Si vous lisez l’article et les références bibliographiques citées à
l’appui des démonstrations qu’il contient , vous comprendrez aussi que
Freud n’a jamais accordé un quelconque intérêt à ce que Bleuler a, le
premier, nommé « autisme », pathologisant du même coup une pratique pourtant proprement humaine - l’ « autoérotisme » décrit par Havelock Ellis et repris par Freud, Jung, Abraham et bien d’autres ensuite - uniquement parce que cette pratique heurtait sa « morale » protestante et celle de ses « maîtres » de l’époque tels que le psychiatre Aschaffenburg !
Enfin, si vous lisez l’article et les références bibliographiques citées à l’appui des démonstrations qu’il contient ainsi que celles que je mentionne dans ce fil de commentaires, vous comprendrez que depuis plus de 100 ans, « autisme » est le nom de... rien et que pendant tout ce temps tout le petit monde des sciences c’est lamentablement planté et continue à se planter .
Heureusement pour eux, les dizotistes n’ont nul besoin d’être « soignés », seulement écoutés en tant que sujets.
Mais en temps de guerres (d’intérêts) et de grosses embrouilles, ils ne sont que des otages...
Rappel :
Les autistes, otages de petits intérêts et de grosses embrouillesNombre de jours de captivité des dizotistes, otages de guerres d’intérêts