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Commentaire de Christian Labrune

sur Un véritable effroi de canards


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Christian Labrune Christian Labrune 15 novembre 2016 20:06

Et pourtant cette Maison Blanche et son fameux bureau ovale qui servit souvent d’alcôve à ses occupants en a vu d’autres comme les turpitudes cigarières du mari de la candidate malheureuse

Siatom,
Ah, qu’en termes galants ces choses-là sont dites ! Clinton mâle avait durement payé les conséquences de jeux pourtant bien innocents. Hillary et ses conseillers ont dû se dire que le vieux puritanisme américain, qu’on avait encore vu à l’oeuvre il n’y a pas si longtemps après les égarements ancillaires du pauvre DSK , fonctionnerait encore une fois, fonctionnerait peut-être toujours. Il y avait lieu de le craindre, mais ça ne marche plus du tout, ça fait plutôt rire, et les plaisanteries de garçon de bain d’un Trump ne doivent pas beaucoup scandaliser un Américain moyen qui doit bien être capable des mêmes sans en éprouver trop de remords.
La political correctness vient d’en prendre un sacré coup ! Cela va contribuer à déradicaliser, même ici, nos misérables « élites ». Aux informations, tout à l’heure, des responsables s’inquiétaient d’une radicalisation en progrès dans certaine prison de femmes en France. C’est très drôle. Hier, on dévoilait des plaques sur les lieux des derniers attentats, en hommage à de pauvres gens victimes d’accidents dont on ne connaît toujours pas une cause que les dites plaques n’évoquent même pas. Des « terroristes » qui passaient par là, probablement. Comme la porte était ouverte, ils sont entrés, and so on. Si on définit le « radicalisé » comme un imbécile parfaitement inculte à qui on peut faire prendre des vessies pour des lanternes, la plupart des politiciens français sont déjà très bien radicalisés.
La « déradicalisation » du Monde et de Libération ou de quelques autres feuilles du même tonneau se fait singulièrement attendre : l’ivresse perdure, mais la gueule de bois n’en sera que plus terrible...

 


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