@atmos
Charles Gave essaye de répondre à votre question : " Qu’est-ce
qui amène ces gens soi disant intelligents car éduqués (un non sequitur
d’anthologie) à voter pour une crapule ?
Et là, je suis obligé de
rechercher ce qu’Aristote appelait la cause première, c’est à dire dans
ce cas à remonter jusqu’au système d’éducation qui leur a permis d’être
là où ils sont. Revenons en arrière.
À la fin des années soixante,
une véritable révolution eut lieu dans tous les systèmes éducatifs en
Occident : nous passons d’un système rigoureux qui cherchait à former
des citoyens responsables à un autre système fondé non pas sur une
morale absolue (les dix commandements) mais sur une morale ancrée dans
la notion de morale relative (tout se vaut). Le bien ou le mal
n’existent pas, seules comptent les intentions. La vérité n’existe pas
et quiconque la recherche est automatiquement traité de fasciste ou de
raciste….« (...)
»C’est une dérive de la pensée que Jean-Paul II et Benoît XVI ont
dénoncé avec beaucoup de vigueur en leur temps quand ils ont condamné le
relativisme en termes très durs. Mais pour nos relativistes, le crime
n’existe pas, tout se vaut et donc ils votent pour madame Clinton
simplement parce que les Clinton leur permettent de se sentir bien avec
eux-mêmes, puisque ces deux vieux criminels ne parlent que de justice
sociale, de fraternité humaine et de partage. La ressemblance avec le
redoutable (pour ses proches et pour la France) président Mitterrand est
foudroyante.
Pour tous ces gens, madame Clinton, qui a volé
l’argent des contribuables, n’est donc pas plus coupable que Trump
contre lequel rien n’a été prouvé, si ce n’est qu’il a fait passer les 7
millions de dollars que son père lui avait laissés en 7 milliards de
dollars, créant au passage des dizaines de milliers d’emplois. Mais il
est riche et donc coupable, tout autant que madame Clinton et sans doute
plus puisque il a plus d’argent qu’elle.
Ces braves bobo ne se
rendent même pas compte, tant on ne leur à rien appris, que c’est là le
modus operandi de la mafia en Sicile et que toute société fondée sur une
morale relative finit toujours dans le chaos, la violence et la loi du
plus fort."