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Commentaire de Christian Labrune

sur Palestine : Le peuple oublié commémore la mort d'Arafat


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Christian Labrune Christian Labrune 21 novembre 2016 01:25

@Pomme de Reinette

Heureusement qu’avec un peu d’habitude, on finit par ne plus s’étonner de rien. A l’époque du dernier conflit avec Gaza, un crétin sur AgoraVox m’avait expliqué que les roquettes Qassam, spécialité du Hamas, c’était de simples « pétards de feu d’artifice » et qu’il était vraiment scandaleux que, pour des plaisanteries de ce genre, on répondît en envoyant des tanks ou l’aviation. 
Je recopie ci-dessous un extrait d’un article de Wikipedia que je viens de trouver en voulant vérifier l’orthographe du nom qu’on donne à ces roquettes artisanales et qui explique très bien les choses. Il est à noter que durant la dernière guerre, beaucoup de Gazouis sont morts à cause de ces roquettes qu’on tirait des hôpitaux ou des écoles de l’UNRWA et qui retombaient sur des quartiers périphériques de Gaza. Mais c’était positif dans tous les cas, soit que cela tuât des Israéliens, soit que cela permît à Pallywood de réaliser des photos bien saignantes des enfants que les artilleurs maladroits du Hamas venaient eux-mêmes de massacrer. Ca me rappelle l’affaire al-Dura, si essentielle pour comprendre quelque chose à cette logique délirante du terrorisme islamiste. 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Roquette_Qassam

Premiers tirs[modifier | modifier le code]

Les roquettes Qassam ont été tirées pour la première fois sur des cibles civiles israéliennes en octobre 2001. Néanmoins, à cause de leur faible portée, toutes tombaient à l’intérieur de la Bande de Gaza. La première roquette qui explosa sur le territoire d’Israël fut lancée le 10 février 2002. La première ville de l’État hébreu touchée par ces tirs fut Sdérot, le 5 mars 2002. À partir 2006 les roquettes ont la capacité d’atteindre la banlieue sud d’Ashkelon ville industrielle située à environ 12 km de la bande de gaza. L’utilisation des roquettes s’est généralisée parmi les organisations armées de Gaza afin de surmonter l’obstacle que posait la clôture de sécurité qui prévenait efficacement les infiltrations sur le territoire israélien. Mahmoud al-Zahar l’un des dirigeants su Hamas à Gaza a déclaré en aout 2007 au Sunday Telegraph que « le Hamas préférait les attaques à la roquette aux Attentat-suicide car elles perturbaient considérablement la vie quotidienne de la population ». À partir de la prise du pouvoir par le Hamas aux dépens de l’Autorité palestinienne en 2007 les tirs augmentent d’une manière croissante[2].

Bilan des tirs de roquettes ou obus de mortiers sur Israël depuis 2001[modifier | modifier le code]

De 1950 à 2010 environ 4 955 [Quoi ?] ont été tirées sur Israël[10], 375 en 2011, 1 823 en 2012[11]. Plusieurs[Combien  ?] ont été tirées en février et mars 2013. Ces séries de tirs mettent fin à la trêve décrétée le 21 novembre 2012 à la suite de l’Opération Pilier de défense[12],[13],[14],[15].

Depuis le début du mois de janvier 2014, environ 150 roquettes ont été tirées depuis la bande de Gaza sur Israël selon un comptage de Tsahal réalisé le 2 juin 2014[16].

Depuis qu’Israël s’est retiré de la bande de Gaza en 2005, plus de 8 000 roquettes ont été tirées sur Israël. Plus de 3,5 millions d’Israéliens vivent actuellement sous la menace d’attaques de ce type[17].

Bilan humain[modifier | modifier le code]

Depuis leur introduction en 2001, les roquettes Qassam ont causé la mort de 14 personnes selon le gouvernement israélien[18].

La population exposée à ces tirs est affectée également psychologiquement. 33 % des enfants vivant dans la ville israélienne de Sdérot souffrent de trouble de stress post-traumatique[19],[


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