« Pourquoi pas ? Les Français auraient ainsi un vrai choix entre deux politiques anti-système. Allez Loulle. Fais péter le Rouge ! »
Je doute que le brun-Marine représente une réelle alternative à la rage néo-libérale : hors slogans destinés au pigeon, CAC40, Medef et FNSEA devraient fort bien s’accommoder de son autoritarisme, et j’imagine que les négociations sont déjà bien avancées !
Seul Mélenchon représente encore la possibilité de victoire d’une alternative économique crédible. Quitte à couiner ensuite sur l’impensable populisme de la Grognasse à qui ils auront ouvert un boulevard, les éditocrates main-stream déploieront donc - comme pour Bernie Sanders - prioritairement toute leur propagande, TINA !, à rendre inaudible et disqualifier d’entrée de jeu toute réelle possibilité d’alternative économique. Évitons donc de trop ajouter foi au matraquage propagandiste que ne manqueront pas de nous servir ad-nauseam et jusqu’à l’overdose sondages et autres « analyses » produites par les larbins de la Pensée Unique pour ne préserver - au prix de notre ruine - qu’un peu plus longtemps leur fond de commerce !
C’est pour la suite que je reste plus dubitatif : même si la voix de la France pèse nettement plus que la voix grecque dans le concert €urocrate et atlantiste, le précédent Tsipras et la trahison en rase campagne de ses électeurs n’ont rien pour vraiment rassurer !
Mais bon, il est plus que temps de « renverser les tables », cela devient maintenant une élémentaire et fort urgente question de survie !