Jacqueline Sauvage a tué par derrière sans s’être jamais plainte en 47 ans
La justice est publique et contradictoire, ou n’est pas. Et de nos jours publique veut dire en direct à la TV en prime time sur les principales chaînes. Or on y a vu et revu d’innombrables fois Jacqueline Sauvage et ses (pas si nombreux que ça) soutiens, mais jamais sa victime (dont le nom même est absent des mémoires) ni ses famille ou proches. Il est donc d’emblée contraire à la justice et à la démocratie d’avoir ainsi condamné de fait ce mari et largement absous celle qui du temps d’une justice impartiale aurait reçu la peine maximale pour assassinat avec circonstances aggravées.
On se demande quelles pressions, idéologiques ou autres, ont subi les jurés pour parvenir à exclure la préméditation alors que cette femme a tué cet homme de trois coups de fusil dans le dos, apparemment sans avoir jamais tiré jusque-là. On se demande aussi comment ils ont pu croire aussi aveuglément les accusations, faites uniquement après le meurtre donc alors que la victime (et du meurtre et des accusations) ne pouvait plus s’en défendre, de la part d’une femme qui ne s’était jamais plainte en 47 ans de mariage (ni auprès de la police ni des autres proches, pas même une main-courante), et soutenues par bien peu de témoignages.
Je seconde donc « oncle archibald » 19 dec 20:51 « les juges ne peuvent pas rétablir la peine de mort à usage discrétionnaire des femmes battues. C’est exactement ça le fond du problème... », et je vais même plus loin : c’est un mensonge, récurrent et télécommandé par les idéologues, que d’appeler « victime » et « coupable » de viol ou violences conjugales tout couple dès qu’une femme se plaint de viol ou violences, sans même avoir écouté le mari ; l’honnêteté élémentaire ne peut pas croire à 100% l’un et à 0% l’autre, et ne peut pas, avant jugement, les appeler autrement que « plaignante » et « accusé ».
Versailles, Tue 20 Dec 2016 09:38:00 +0100