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Commentaire de eric

sur Etre encore de Gauche au XXI ème siècle : comment conjurer un tel handicap économique et professionnel ?


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eric 20 décembre 2016 12:48

Tous cela est extrêmement juste. Cependant ce n’est malheureusement pas tout. Au delà d’une vague vulgate marxisante, nos gauches sont également une sorte de sur moi freudien..

Révoltées par l’injustice qu’il y a à ce que leur père soit plus âgé qu’eux..., Elles veulent le tuer et, le meurtre réalisé, se guettent en chien de faïence pour massacrer celui qui pourrait vouloir illégitimement pendre la place du père honni.

Évidemment, cette absence de père produit le contraire. C’est avec une grande facilité que le socialos se confient à des hommes providentiels, père de substitution, Hitler, Staline, etc... Les droites nommaient leur leader le grand Charles. Et il étati grand. Les socialos nommaient leur vichyste parés de sa francisque « Dieu » en faisant semblant d’y mettre de l’humour et de la distanciation...

C’est pour cela qu’elles veulent toujours détruire spécifiquement la société qui les produit elles même au bénéfice de n’importe quelle autre ( les soviétiques, les bon sauvages, les innocents islamistes qu’il ne faut pas amalgamer, les banlieusard tant qu’elles ne les connaissent pas...)

Alors, on a droit au mariage des tous à la théorie des genre, à l’intersectionalisme, et autres délires médiocres mais mortifères. En particulier pour eux, parce qu’ils sont non seulement croyant, mais pratiquant...Mais aussi pour le reste de la société.
Les gosses des gauches illustrent en général la couverture du NO : « nos enfants ces tyrans », mais ils font tous ce qu’ils peuvent à travers l’école pour tenter de réduire les enfants es autres au même stade.

Au delà de la stagnation économique, c’est aussi la stagnation humaine, la dégradation culturelle. Regardez le culte des ordures dans les productions culturelles de la gauche contemporaine.

A la fin, c’est aussi l’effondrement moral, et démographique, le désespoir et la violence sociale par le suicide, l’alcoolisme, la drogue.

Les socialismes se terminent en Brejnevisme. Une stagnation molle, en apparence doucereuse, mais en réalité, au quotidien, d’une rare violence.
 
Staline a tué peut être 20 ou 40 millions de personne, mais le nombre de vie non vécue avec Brejenev qui parvint à réduire l’espérance de vie des hommes à 59 ans en temps de paix est peut être plus dramatique encore.

Non seulement nos boites on du mal à tourner, mais il parait que les suicide augmentent, que la consommation de médicament française est en pointe et que notre démographie jusque là exemplaire, serait en berne.

C’est peut être d’abord culturellement que nous devons désintoxiquer notre pays de cette maladie.


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