Les obligations font toujours loi de vie.
On pourrait traduire cela par « Quand il n’y en a plus, il y en a toujours encore, mais plus les mêmes ».
Il y a des gens qui se suffisent d’un minimum et pour eux, c’est tant mieux.
Ils survivront toujours puisqu’ils se sont adaptés.
D’autres que l’on appelle les dissidents du système, iront ailleurs quand ils le peuvent pour voir si l’herbe n’y est pas plus verte.
Enfin, ils iront parfois au péril de leur vie.
Mais le monde est pluriel. Ses ressortissants naissent au petit bonheur la chance ou de malchance.
Dans n’importe quel régime, la dissidence n’est jamais la bienvenue.
Ce qui relie tous les Cubains et les peuples : la musique.
Dans laquelle tout passe sans qu’aucun dirigeant n’ose y apporter une note contraire.
A Cuba, c’est la salsa. https://www.youtube.com/watch?v=M5A3KO7—C0
Comme l’ouvrier disait du temps des Soviets : « on fait semblant de me payer. Je fais semblant de travailler, mais je danse ».
L’espoir fait toujours vivre, l’attente fait mourir.
Survivre n’est pas vivre.
Pourquoi faut-il toujours un gouvernement autoritaire pour que les gens comprennent où est le bonheur ?
Chercher pas docteur les raisons de son malheur, ailleurs.
Son bonheur ou son malheur est en nous.
Viva un cubalibre ou un cocktail mojita.... 