Wouuuuu la baudruche se gonfle et se gonfle...
J’en regrette mon propre comm précedent. mais bon je l’assume mais ressens néanmoins le besoin de preciser mon propos.
Cat là, en revenant ici, je constate que le débat à glissé dans des abysses ; une fois n’est pas coutume.
Mais cela permet tout de meme de débattre.
Les violences faites aux femmes dans le cadre conjugal (et autres) sont clairement inadmissibles il est evident que défendre une these opposée relève de la sombre ignorance ou de la provocation des plus basse.
Mais ne perdons pas de vue le veritable sujet de l’article qui concerne la decision de justice en elle-même. Et le choix d’un president de le république de revenir sur ses decisions, de façon il faut le dire, contestable (restons courtois). Une fin de règne marquée par d’insensés revirements et hesitations et perte de sens et de vision...
Les faits, les tenants et les aboutissants, les details de l’affaire... je doute que qui que ce soit ici sur AV en connaisse réellement tous les recoins et tous les details. Y compris celles ou ceux qui s’étendant en explications savantes en details recopiés ou en morale adipeuse ou en enfonçage de portes ouvertes (comme moi probablement ici).
Affirmer et déclarer savoir ce qui motiva cette femme a tuer son mari relève de l’inconscience je pense.
La justice que cela soit clair a bel et bien été dévoyée dans cette affaire. Piétinée même.
Releguée à une sorte de caricature. Melant opinion populaire, manipulation médiatique, opportunisme politique et embroglio judiciaire.
Ce sont, je pense, les seuls choses a considerer comme sûres et certaines.
Au final, il est vrai qu’on ne sait rien.
A part que cette affaire sur-médiatisée et en arrange probablement certains.
Au final. Un homme est décédé. Et sa mort n’est pas « respectée ». L’acte qu’a commis C. Sauvage, elle le porte en sa « conscience ».
En prison ou dehors, cet acte est indélébile.
La vérité, elle la connait. Ses enfants surement aussi.
Le reste ne sont que conjectures.