Bonjour,
Pourquoi faire simple quand on peux compliquer les choses. Voila mon jugement sur les propos que tous tiennent plus ou moins sur les économistes.Car vue de mon caniveau qu’est-ce que c’est un économiste ? simplement une personne qui recherche a faire faire des bénéfices pour une entité ,principalement « l’entreprise » et pour les « états » des économies(bénéfices ?!) .Alors ils se foutent ,mais alors complètement des conséquences externes a la réalisation de ce but.Pour eux, ce qui se passe extérieurement ne sont que des dommages collatéraux , le prix a payer.Vos économistes qui sont mis sur le devant de la scène ,comme étant des phares, des avant-gardistes.Tout au plus ils vendent de l’air ,des bouquins.Ils sont leur propre économiste.Ils se vendent eux,point final.
Spartacus n’a pas totalement tord ,concernant son commentaire disant que les entreprises qui réussissent le mieux ,ne sont pas forcément celles qui paient le moins. Car pour elles ! elles veulent surtout le monopole.Ces entreprises ne veulent que rester vivantes et devenir indestructibles.Alors ! les prix ,la main d’œuvre, une économie équilibré ,les prix... cela ne les intéresse pas .Tout est une question de pouvoir et de durée. Pour ce qui est du marché libre ou de l’offre et la demande.Tout cela n’est traité que comme une question financière. Toujours une question de pouvoir.C’est l’argent qui est maitre de ce pouvoir. C’est la seule chose qu’il faudrait revoir.Plus la masse financière est partagée,plus le pouvoir s’échappe.A contrario ,nous restons figé sur le mode restrictif, Cela fonctionne bien depuis toujours.Payer le prix fort pour vivre,n’est pas une gêne quand tu es du bon côté de la barrière.Tu monopolises le pouvoir. Les économistes ne devrait pas exister,ils sont trop nombreux et n’apporte rien de concret pour la société,ils sont là pour noyer le poisson « le poison »..Qui veux d’une société équitable, qui fonctionnerait en roue libre,trop dangereux,hasardeux et pourtant ! c’est le seul moyen d’avoir de l’emploi,Mais moins de bénéfices.C’est là, le bas qui blesse.