On est vieux pour le monde du travail bien avant 58 ans, 45 très souvent suffit .

Mon cher Lionel vous êtes une momie (rire) , je vous suit dans ce labyrinthe comme beaucoup d’autres en essayant d’éviter les serpents à sonnette de l’anpesclavage dont l’hypocrisie n’est plus vraiment à prouver mais à dénoncer dans un réel débat public .

Je me suis bien retrouvé en partie dans votre parcours avec nos accompagnants très souvent incompétents de l’anpe avec leur armada de prestataire qui pour beaucoup ne sont là que pour vider les caisses allouées chaque année à cet autre domaine d’incompétences.
Je me souviens même que pour pouvoir avoir un peu de paix et ne pas subir le harcèlement constant de ces gamins tout juste sorti des écoles pour entrée direct comme employé à l’anpe, avoir accepter un accompagnement avec un de leur prestataire pour faire un bilan de compétences sur trois mois avec un rendez vous de deux heures par semaine.
Dés le premier rendez vous qui fut public avec tout les participants et responsable d’agence plus associé, j’ai joué franc jeux en réussissant à leur faire admettre l’inutilité pour la plupart des participants de ce que nous allions retirer de ce stage redondant dont l’anpe à le secret. Était même présent un participant dont le projet était de monter le même type d’agence de prestation, il était donc lui pour le coup à bonne école.
Bref, du faite que je ne les avait pas jugé en repositionnant de façon horizontale les choses vis à vis de nos parcours et compétences professionnel ou chacun pouvait enseigner l’autre d’une certaine façon, j’ai passer trois mois très agréables à discuter de philo, de psychologie et de plein de choses d’autres qui n’avaient rien à voir avec le pourquoi j’étais ici en stage.
A chaque fin de séance nous plaisantions avec l’accompagnatrice tout en riant des intitulés et baratins à mettre sur la feuille de suivi obligatoire destiné à l’anpe.
Ce fut très enrichissant humainement parlant dans ma position de participant observateur.
Cela fait maintenant pas mal d’année que je suis à l’ass et malgré un CV en béton d’une expérience atypique dans différents domaine je suis aux rebuts de la société et quelques part je me dis que d’être rejeté ou de n’avoir pas de place dans une société malade c’est que l’on est en bonne santé mentale.
Le plus barbant à vivre, ce sont tous les petits con et connes que l’état, en instiguant un mouvement grégaire des masses et médias pousse à juger et accuser ceux qui sont dans cette situation comme étant des assistés. Comme à des chiens on leur donne un os à croquer pour les occuper pendant que les vrais assisté (les politiques) se servent dans les caisses de l’état. C’est sur ils vont en avoir pour un moment à croquer cet os du faite qu’ils n’ont pas de dents.