MAIS POURQUOI LES MÉDIAS OCCIDENTAUX N’ONT PAS INTERVIEWÉ LES
HABITANTS D’ALEP EST ? et pour cause.
Un journaliste de Sputnik rapporte le témoignage suivant :
Le visage
couvert d’un voile, une habitante d’Alep-Est raconte la
descente aux enfers qu’elle et de nombreuses autres femmes
ont connue alors que la ville était aux mains des rebelles
modérés :
"« De quoi suis-je coupable ? » C’est par cette question que
la jeune habitante d’Alep-Est commence son histoire effrayante.
Elle est parvenue à quitter la ville pendant l’évacuation, mais
les terribles souvenirs la hantent toujours : les femmes ont
beaucoup souffert lorsqu’Alep-Est était sous contrôle des
terroristes. Il ne s’agit pas seulement de la famine que tous
les habitants ont subie. Meurtres, viols, mariages forcés : les
femmes d’Alep en ont vu de toutes les couleurs. Et si une
d’entre elles s’insurgeait, elle a été lapidée.
« Si une femme voulait épouser un homme qui n’appartenait pas à
l’organisation terroriste, on la battait, la jetait dans une
fosse ou en prison. On pouvait la lapider ou décapiter »,
Pendant les années de siège, les terroristes faisaient la loi
dans la ville. Sans forme de procès, ils exécutaient ceux qu’ils
soupçonnaient de crimes.
On montait le criminel présumé aux étages supérieurs d’un
bâtiment et on le jetait depuis le toit. « S’il survivait, on le
jetait encore, jusqu’à ce mort s’ensuive », poursuit la femme.
« Nous ne pouvions pas vivre une vie normale, confie-t-elle, les
femmes avaient l’interdiction de travailler ».
Dès qu’une femme plaisait à un terroriste, ils concluaient
rapidement un mariage musulman (nikah). Il arrivait que des
unions de ce type ne durent que quelques heures et qu’une fois
enceinte, la femme se retrouve à la rue. « Elle accouche d’un
enfant dont le père est un terroriste.
Mais s’il est interdit de
travailler, comment le nourrir ? Tout le monde sait d’où vient
cet enfant. Comment vivre ? », s’interroge l’habitante d’Alep.
« On nous intimidait. Une voiture passe près de vous, une
fenêtre s’ouvre et vous voyez une main qui tient par les cheveux
la tête coupée d’une femme », poursuit-elle.
La jeune femme n’a que 21 ans, mais l’histoire de sa vie dans la
ville assiégée rappelle elle un film d’horreur.
Les terroristes ont tué son mari d’une balle dans la tête et
emporté son corps en Turquie.
« Ils ont extrait les organes et me l’ont rendu après. Le corps
sans organes avait été mis dans un sac. Le corps avait été cousu
comme un sac », raconte l’interlocutrice.
Quant à son fils, les terroristes l’ont enlevé en affirmant que
l’enfant n’appartenait qu’à eux.
Pour la dernière fois, l’habitante d’Alep l’a vu il y a deux
ans. Sa sœur a vécu la même histoire.
"
Référence : https://fr.sputniknews.com/international/201612211029285868-alep-femmes-terroristes/
De brave gens, ces rebelles modérés qui sont chéris par les médias occidentaux !!!!!
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@roman_garev ’’Quelle « autre chose » possible sauf le gas-oil y voyez-vous (...)
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