@jaja
Jaja,
vous êtes le type même du gauchiste qui croit tout savoir, qui
n’hésite pas à sortir la réthorique anti-complotiste indigente
des impérialistes, montrant bien combien votre pensée est formatée,
sclérosée et faussement anti-système, n’hésitant pas à plonger à
fond dans une pensée elle-même conspirationiste de façon
grossière. De toute façon, les gauchistes à pensée pré-digérée
comme vous, au NPA et apparentés, sont les idiots utiles du système
capitaliste et impérialiste. 11-9, AZF, Libye, Syrie, vous gobez
tout ce que sa propagande sort, aussi grotesque soit-il.
Et
cessez de vous référer à la manifestation de Toulouse, les
réfugiés syriens en France, très peu nombreux par rapport au
total, comme ceux de l’Union européenne en général, ne sont pas du
tout représentatifs. N’ont été acceptés que ceux qui déclaraient
être contre Assad, les autres étaient de toute façon découragés
d’avance par le fait que l’État français avait fait savoir qu’il
n’accepterait pas les supporteurs d’Assad. De tout façon, la plupart
des réfugiés syriens détestant la France et sa politique, ils
n’allaient pas se rendre dans un pays qu’ils rendaient responsable de
leur malheur. Même si une minorité pouvait à contrario penser
qu’il était moral de venir dans un pays qui leur devait des
réparations. Mais la plupart de ceux qui se sont rendus en Europe (à
la différence de ceux qui restent dans les pays voisins) sont
atteints de la haine de soi, j’ai vu sur d’autres sites des
descriptions de syriens qui détestent leur pays, l’identité et la
culture arabe en général, il souhaite que leur pays soit vassalisé
par les occidentaux et Israël. En bref, les rebelles recrutaient
parmi deux catégories à l’opposé du spectre des opinions, des
islamistes et des arabes haineux d’eux-mêmes. Les deuxièmes, lâches
comme il se doit, ont en majorité fui quand les choses tournaient
mal, et les syriens ne veulent de toute façon plus d’eux. Ne
restaient guère que les islamistes, souvent sanguinaires.
Et
oui, à Alep Est, il n’y avait plus que ça, les « civils »
étaient en fait des activistes, les quelques vrais civils qui
restaient (en tout 300 000 personnes sur plus d’1,2 million, mêlant
supporteurs intégristes des rebelles et vrais civils) étaient
gardés en otage, désireux de fuir et empêchés par les rebelles
qui n’hésitaient pas à les tuer quand ils empruntaient les
couloirs ouverts à leur disposition pour fuir les combats. Ceux qui
ont quand même réussi à partir étaient heureux de chercher
protection auprès des forces gouvernementales.