Ces multinationales utilisent le CCU-code commercial uniforme et dans la mesure où il considère les individus comme des choses, forcément sans droit, la seule solution consiste à se constituer en peuple et à s’extraire de ces sociétés commerciales en se regroupant en assemblée constituante pour rédiger une constitution et à fonder un état de droit (qui n’existe plus).
L’ Islande a commencé à emprunter cette voie et l’Allemagne suit l’exemple.
En France, un collectif de citoyens a crée un conseil national de transition afin de constituer un canevas pour mener la mission à bien. Le CNTF est candidat aussi à cette présidentielle et il organise un referendum national le 2 avril 2017.
Toutes les informations se trouvent sur le site du CNTF.
http://www.conseilnational.fr/
Le vocabulaire utilisé par les imposteurs à la tête de leurs multinationales induisent tout à fait sciemment les gens en erreur.
Le « traité » de Lisbonne n’est pas un traité mais un accord commercial entre les différentes filiales situées sur le territoire européen. Un traité se signe entre nations souveraines.
Aucun être humain -qui n’est pas une marchandise-, bien qu’il soit traité comme telle par le droit commercial, n’est soumis à un accord commercial s’il n’est pas personnellement -ou par un mandataire- partie au contrat.
De même que votre voisin ne peut pas vous obliger à payer ses factures à sa place, aucune société commerciale ne peut vous obliger à payer un produit que vous n’avez pas acheté.
Les politiciens ne sont rien d’autre que les employés de multinationales qui les contrôlent et les rémunèrent par l’intermédiaire des impôts publics.