« il a délégué la chose à une espèce de brute sans doute financée à nos frais, incapable de se contenir ».
Ils sont terrorisés à l’idée de mettre un orteil sur un trottoir et si ce n’est absolument pas nécessaire, ils s’en dispensent, préférant les intermédiaires pour éviter de se retrouver face à face avec ceux qu’ils méprisent au quotidien et blottis derrière leurs gorilles. Monsieur Sarközy était un modèle du genre qui s’abritait derrière 2000 policiers lorsqu’il se rendait dans l’arène populaire...
C’est dommage que ce jeune homme n’ait pas entendu parler du conseil national de transition pour rejoindre des milliers de français qui ont décidé de se faire entendre pour se débarrasser de ces parasites et ces usurpateurs illégitimes sous les ordres de la haute finance internationale.
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