En fait, si on porte attention au discours de Macron, on s’aperçoit qu’il ne parle pas anglais, mais américain !
C’est qu’il est en retard d’un train !
Un Gaulois rendant visite à des commerçants gaulis en Germanie aurait sans doute utilisé le latin plutôt que le celte ou le germain, afin de bien montrer au colonisateur romain qu’il était du bon côté du manche.
L’U.E. étant une colonie américaine, Macron parle américain pour complaire auxseigneurs les plus puissants. Mais il est en retard d’un train car il est imprégné de la logique imposée pendant plusieurs décennies par Soros et le clan Clinton pour formater ses valets à travers des organisations comme les « young-leaders » auxquels Macron n’a pas échappé.
Il est possible qu’il se trompe, car le nouveau maître, Trump, semble préférer les négociations bilatérales avec des états plus petits que le maintien de structure dans lesquelles les rapports de force sont moins évidents à mettre en oeuvre.
De toutes façons, un candidat à la présidence française qui parle anglais à des Français en Allemagne, c’est nul.
Qu’il se discrédite !
Ca lui fera toujours quelques voix en moins.