@Layly Victor
« Hitler et Mussolini étaient aussi socialistes »...
Marrant, votre dernière trouvaille...Vous oubliez « national », et la cédille, comme une croix de fer entre les deux mots, ce qui nous fait « national-socialiste ».. . Le terme national l’emportant sur le terme socialiste, comme le masculin l’emporte encore sur le féminin, en terme de conjugaison.
Faut pas confondre pas de l’oie et valse musette, quand même !....
Comme vous pouvez le lire dans la déclaration d’Orwell, plus bas, sa critique n’est pas seulement, comme l’URSS, mais contre tout régime despotique, et à ce titre la Russie de Poutine le superman qui a confisqué le pouvoir et embastillé, ou éliminé toute opposition rentre en plein dans la case pile-poil...A ce titre une vraie continuité répressive depuis le tsar Alexandre jusqu’à notre poutinerie d’époque. Les goulags sont là pour en témoigner, inamovibles depuis que Tchekov fit sa première visite comme médecin dans le bagne de Sakhaline, et en fit un récit qui fait encore froid dans le dos. Mais je laisse Orwell, qu’il vous reste à déchiffrer comme un rébus, témoigner :
« La morale, selon moi, est que les révolutions n’engendrent une amélioration radicale que si les masses sont vigilantes et savent comment virer leurs chefs dès que ceux-ci ont fait leur boulot. Le tournant du récit, c’est le moment où les cochons gardent pour eux le lait et les pommes (Kronstadt). Si les autres animaux avaient eu alors la bonne idée d’y mettre le holà, tout se serait bien passé » Faudrait donc dire à Poutine de passer le relais aux autres bestioles. Je sais, il ne ne veut pas,.....Autre gros cochon, tout aussi rose, le cas Trump. Je sais, vous allez me dire, pour rigoler encore, que l’ami Orwell se serait extasié devant de bienfaiteur de l’humanité.
Qu’est ce qu’on rigole sur agora.