À quand, sur les chaînes publiques radio et télé, des émissions aux
heures de grande écoute (et qui ne soient pas « de divertissement ») avec Sami Aldeeb ?
Depuis qu’Anne-Marie
Delcambre n’est plus là, les meilleurs connaisseurs de l’islam n’ont plus
droit aux micros et caméras que dans des médias moins importants. Dans le « Service public » on n’invite
plus que les néo-négationnistes
affirmant que l’islam c’est pas ça, et ce sont eux qui font les
conseillers gouvernementaux.
Par respect pour la vieille dame on l’invitait encore, ici ou là,
pour faire entendre la voix qui était celle des historiens français des siècles
précédents pour lesquels l’islam était
indifférencié de l’islamisme. Mais l’histoire ne compte plus guère pour les
« chercheurs » français des dernières générations, et ils arrivent à
convaincre ministres et journalistes que les « islamistes » ne sont que
des produits du racisme, du chômage, du capitalisme, du néo-colonialisme...
14 siècles de preuves de
la violence islamique commise en application des textes sacralisés appelant à la
commettre sont pour eux à ignorer totalement. Rappelons que les victimes de
cette violence furent des dizaines de
millions depuis la création de l’islam.