@ Victor
’préfèrable à la branlette’ : défense, choix par défaut, référence à son négatif à soi = le centre de gravité est toujours le même, même dans la détestation. Retire-t’on ce soleil et on tombe par terre, ne pouvant plus marcher, n’étant plus animé. En un mot, nihilisme passif.
Pour le reste, je suis depuis un constat concordant au tien, je suis dans une optique diamétralement opposée.
Il y a en fait une autre phrase importante dans ton premier propos.
’Le seul révolutionnaire est barbu qui crie « des mosquées ! »’
Sachant que ’le premier et dernier besoin de l’homme est le besoin métaphysique’, la première chose que l’islam (qui effectivement sous nos contrées est en expansion) conquiert, c’est l’âme. Ce n’est que suite à cette conquête que s’élève le cri ’des mosquées’.
En restant dans le domaine de l’économie, de la dynamique, force est constater que l’islam seul est porteur de vie et qu’il possède innocence et enthousiasme*.
*ce n’est pas une apologie de l’islam, juste une observation. Ce truc fait rêver, c’est peut-être un illusionnisme mais il fait rêver. Il constitue un espoir, ça en dit long sur l’étendue du désarroi intime, au fond. Et ce qui fait rêver, ce n’est pas Dieu dans l’islam ; c’est tout à fait autre chose.