Hypothèse que je formule concernant les diabète de type 2 et 1 :
Seuls les sucres simples sont parfaitement assimilables directement par l’organisme. Ainsi en va-t-il du miel. J’entends par « sucres simples » des hydrates de carbone ou glucides simples, du type ose (monosaccharides) (glucose, fructose, galactose...) et non pas comme l’indique cette Page Wikipedia qui leur associe les diholosides (disaccharides), qui sont des molécules formées par la réunion de deux monosaccharides. Les plus connus étant le saccharose, le lactose, le maltose
, lesquels ne sont pas directement assimilables par l’organisme avant
d’être décomposés (hydrolysés) en deux sucres simples ; le saccharose se
décomposant en glucose et fructose.
D’un point de vue chimique cela représente beaucoup d’énergie (elle se calcule) préalable à l’assimilation biologique de séparer le disaccharide en deux monosaccharides
(briser la liaison covalente) qui eux pourront être assimilés par
l’organisme, et cette opération se répète autant de fois que l’on
consomme ce type de sucre. En sorte que le foie, grande centrale
industrielle du corps qui distribue toutes sortes de choses, se trouve
extrêmement sollicité pour produire ce qui est nécessaire à cette
transformation.
Le sucre blanc contient plus de 99,8 % de saccharose
cristallisé. Le miel aliment parfait par excellence, à l’inverse, n’est
pour ainsi dire composé que de sucres simples à plus de 90 %.
De mon
point de vue en raison de la lenteur de l’assimilation pour des raisons
purement chimiques, les disaccharides (saccharoses et Cie) devraient
être associés pour plus de clarté aux sucres dits « complexes »
polymères du glucose (polysaccharides), amidon, glycogène, ... non pas
qu’ils soient purement toxiques, mais ils seraient assez indigestes ce
qui pourrait peut-être (?) expliquer des dysfonctionnements hépatiques à
la source des diabètes de type 2 et 1
J’ajoute que si ma logique est juste, le miel ne devrait pas être déconseillé voire interdit aux diabétiques
à consommation très modérée évidemment ...