@Piere CHALORY
Bonsoir,
Je me pose tout de même une question. Que faisait dans cet étalage crasse de vulgarité et de grossièreté, Philippe Poutou, et pour quelles raisons n’a-t-il trouvé rien à redire sur les propos de la Bécassine de service, concernant les « Licenciements » ? De deux choses l’une, où il ne savait pas quoi répondre et l’exercice était trop compliqué pour lui, mais je pense que cet homme est depuis longtemps en tant que syndicaliste rompu aux dialectiques et aux manigances des journaleux, et du patronat. Ou bien lui aussi avait reçu diverses consignes de laisser piailler la rieuse de bac à sable. Quant à Ruquier, égal à lui-même, un vent !
Décidément, même ceux sensés représenter et le peuple et leurs intérêts, se ridiculisent en adoptant un position comme celle de ce candidat aux élections présidentielles, par un mutisme de circonstance. D’ailleurs Ruquier le reconnaît, on ne lui a laissé que très peu de temps de parole. En fait, sans vouloir préjuger de la sincérité de ce candidat, son mutisme reste offensant pour les salariés. C’était l’occasion où jamais de river son clou à cette représentante de l’Oligarchie. Ainsi qu’à toute la clique qui faisait office de claque !
Nous remarquons également que ces gens-là sont de plus en plus audacieux dans leur méthodes pour insulter le peuple, le froisser, tout comme Macron est passé maître en la matière devant des ouvriers menacés de licenciements lorsqu’il conseillait à l’un d’eux de « travailler, s’il voulait se payer un costard ».