@Gandalf
Je ne crois pas qu’il soit légitime d’induire un lien direct
entre mes interrogations sur la démographie et une pulsion génocidaire. Mon
propos consiste à m’interroger sur la place qu’occupe la démographie dans l’idéologie
dominante (il faut que le taux de natalité dépasse deux, on est les meilleurs
en Europe, c’est indispensable pour l’économie etc…).
Ma propos est plutôt d’analyser les effets délétères de la
démographie sur la biosphère, on a le droit de regarder ailleurs, mais on peut
aussi essayer de s’interroger sur les fondements de cette idée (ce que je n’ai
pas fait de façon exhaustive).
La démographie mondiale a des effets négatifs sur la planète,
certes, mais elle a aussi des effets l’équilibre sociologique autrement dit la
paix sociale. Les scores du FN indiquent que l’immigration a un certain nombre
d’effets induits, que l’on associe souvent, je pense à juste titre, au
phénomène de communautarisation, l’idéologie multiculturaliste aboutie au
multicommunautarisme en réalité. Tout cela est dû à la politique menée par les
élites sans le consentement du peuple. C’est pourquoi j’insiste sur les
habitants du VIème arrondissement de Paris, le M2 vaut 12500€ çà limite le
nombre de voisin au RSA. Le fait que d’une part ils ne subissent aucune des
conséquences de la délinquance violente et que d’autre part, l’idéologie
mondialiste, humaniste, universaliste, marchéiste etc s’accorde parfaitement
avec leurs intérêts économiques explique
que les choses aient dérivées à ce point sans prêter plus d’attention que cela
à l’avertissement des émeutes de 2005.
Cet article n’était pas l’occasion d’exposer mon point de
vue sur un modèle économique pertinent. Réinventer le Zaï etc, j’y suis
parfaitement favorable j’ai d’ailleurs eu l’occasion d’exposer mon point de vue
dans une réponse plus haut, je me cite : « Il me semble clair
qu’il est nécessaire de changer de paradigme, pourquoi pas la deep ecology qui
pourrait probablement bien s’intégrer dans un modèle économique tel que celui
de Michel Bauwens, le P2P qui reste mon modèle socio-économique de référence. […]Je
préfère le P2P qui se fonde sur un modèle proche de l’anarchisme et qui prône
la coopération dans l’horizontalité. »
Je m’intéresse à tout ce qui permet de démontrer au reste du
monde qu’il est possible de développer un modèle socio-économique coopérant qui
se fonde sur un certain nombre de prérequis, de briques de base : une
monnaie indépendante, cela pourrait démarrer avec une monnaie locale ou une
cryptomonnaie, une modèle d’organisation, l’holacracy et le P2P de Bauwens, l’autonomie
energétique (des maisons autonomes reliées en smartgrid), l’autonomie en eau
(de pluie), en ressources aliemntaires (aquaponie notamment) etc…