@moussars
bonjour l’ancien, je n’ai que 40 ans d’informatique et j’ai commencé sur T2000 et Solar de chez Telemecanique (devenu Bull eux aussi) mais c’était à peu près les mêmes types de machine.
Alors quand on a connu l’époque ou on dépannait au composant et ou on pouvait débuguer les programmes des micro-procs avec des analyseurs logiques, on est en droit de se marrer quand on voit un informaticien « moderne » se bloquer, incapable de résoudre le problème quand une librairies « standard’ ou un framework ne donne pas le résultat attendu. Et tout ça parce qu’il n’a pas la compétence nécessaire pour savoir utiliser le déboguer fournis avec son IDE.
Aujourd’hui on assiste à un nivellement par le bas des informaticiens en leur »offrant« des milliers de mega-octets de librairies plus ou moins performantes (plutôt moins que plus) et en leur »mâchant« le travail a coups d’exemples mono-utilisation. Après cela on s’étonne qu’un simple »Hello Word« qui nécessite moins de 100 octets en assembleur, demande plus de 10 Méga-octets (plus le framework) en C# pour faire la même chose.
Et que dire de ces langages qui exigent que ce soit l’informaticien qui s’adapte à eux et non eux qui s’adaptent au programmeur.
exemple :python avec ses variables dont il définie de lui-même, le type, qui vous oblige à redéclarer vos variables globales alors que vous avez pris soin de les définir avant le code pour justement qu’elles soient globales, qui est incapable de fournir le bon numéro de ligne en cas d’erreur de programmation, qui arrive même à stopper le programme si vous mettez un »é" dans .. un commentaire : dans un commentaire, pas dans une ligne de code
et j’en passe..
Après on s’étonne que ces mêmes informaticiens trouvent normal que ce soit le système qui décide à la place de l’utilisateur
Bienvenu chez Orwell