Les fascistes rouges, partisans de régimes totalitaires honnis qui ont assassiné plusieurs dizaines de millions de civils tout au long du XXième siècle, oseraient à présent, toute honte bue, donner des leçons de bonne tenue et de morale politique aux patriotes et nationalistes français ?
De La Rocque fut un héros de la première guerre mondiale, et un résistant reconnu lors de la seconde, décoré pour cela. De Gaulle lui-même lui rendra hommage.
« Après avoir jusqu’au dernier moment adressé aux parisiens nos exhortations de courage et de fermeté, nous voulons maintenant crier à tous les français le mot d’ordre de résistance. Le gouvernement au pouvoir a été désigné, soutenu à cause de son programme essentiel : tenir, ne jamais faiblir. Ce gouvernement ne saurait capituler sans se renier lui-même. Il ne saurait mettre bas les armes par une simple décision. Sa décision ne saurait sortir de la ligne choisie, convenue, adoptée, sans que le pays soit d’abord, consulté, prévenu. Ou bien ce serait une escroquerie morale dont aucun Français n’a le droit d’accuser un autre Français, ce dernier fût-il son pire adversaire politique. Tous les citoyens doivent donc être prêts à la résistance totale, et jusqu’au bout. La famille P.S.F. au seul service de la nation entière doit donner l’exemple...Une seule consigne, quoi qu’il arrive, consigne de gouvernement, consigne civique : Résistance » - De La Rocque, 16 juin 1940.
Rappelons qu’à la même époque le premier secrétaire du Parti communiste français - Thorez - avait déserté son régiment et était réfugié à Moscou, il avait été déchu de sa nationalité française et condamné à mort par contumace pour fait de désertion. Un PCF par conséquent totalement vassalisé à un PCUS lui-même allié d’Hitler à la même période.
Et ce sont les mêmes illustres imposteurs, des véritables négationnistes, qui viendraient délivrer des brevets de vertu et des leçons de resistancialisme... ? Des fascistes rouges oui, et plus que jamais !