@tobor 28 mars 00:20
«
Qu’une société arrive à se réguler et à se maintenir dans un équilibre harmonieux ouvrirait des perspectives de durée qui arrangent certainement la vie plutôt qu’un entre-déchirement par le sur-nombre et dans l’incompétence (?) »
Je dirais dans l’inconscience crasse et intéressée d’êtres non voulu/désiré qui « répètent » leur drame ontologique. Je constate que personne n’a demandé son opinion à l’innocent qui sera condamné à un esclavage de 80 ans. Cette partie là n’intéresse pas les sadiques mères Theresa de ce monde.
Il ne s’agit donc pas d’un génocide que d’épargner à 220,000 innocents une existence de merde, mais d’Humanisme Vrai.
@ l’auteur
« - 2 - Rappelons que, dès que le spermatozoïde a fécondé l’ovule et que la cellule ainsi formée à commencé à se diviser, l’embryon a un ADN différent de celui de sa mère. Il s’agit, dès cet instant, d’un être différent de la mère issu de l’ADN de deux parents. Le statut de l’embryon n’est donc pas une question philosophique mais bien une question juridique et politique. »
Ceci est faux car l’énergie de chaque cellule de cet embryon est assuré par les mitochondries dont l’ADN est exactement le même que celui de la souche matriarcale. C’est ce passager qui se perpétue de génération en génération depuis Ève.
Quand à son mot à dire par l’homme subjugué décrit par Esther Vilar, il s’agit bien d’un esclave bien programmé depuis sa conception qui n’a donc aucun droit au chapitre autre que de pourvoir pour les clones de leur mère.
Il y a des limites à imiter les rois et les reines dans leurs perversions.
Cordialement