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C’est aussi d’une naïveté incroyable.
’là j’avoue que le terrain du droit c’est pas mon truc, je suis obligé de faire confiance’
« La stratégie n’est pas dévoilée, si j’ai bien compris. »
La construction de l’Ue sur les 25 dernières années, depuis 92, s’est effectuée sur le mode de l’abus de confiance. Parce que l’objet réel est de kidnapper la souveraineté qui appartient au peuple. Ce rapt a été effectué à 99%, la seule part de souveraineté qui reste, c’est celle du frexit, dire non.
Comment peut-on accorder aveuglément sa confiance à un type, Mélenchon, qui non seulement à voulu l’euro mais l’a défendu avec lyrisme ? Ou bien dans le pire des cas c’est un vendu ou dans le meilleur un politique d’une nullité crasse. En toute logique, vu que ces énergumènes défendent aussi le mandat révocatoire, si on comparait la pratique (les effets) à la théorie (l(intention), ce type pointerait à pôle emploi depuis belle lurette. Et je ne parle là que de Maastricht car être à côté de la plaque est tout de même une constante chez lui : soutenir jusqu’à l’idolâtrie un certain Mitterand (et dans le m^me temps dire que de Gaulle était un ’dictateur’ !), propager l’idéologie du parti socialiste, voter Maastricht, s’adonner à des clowneries hystériques suite au referendum de 2005, aller mettre la branlée à la Lepen dans le nord et revenir péteux avec le verbe mojns vif, voir dans la mise à mort des Grecs une résurrection du peuple, voir tous les quatre matins une impossible révolution de gauche avec les Indignés, Podemos, Nuit Debout,etc. dès que trois punks à chien quelque part sur le continent s’assemblent dans la rue avec deux bières en tendant la main pour faire la cheum, Mélenchon voit le Grand Soir, le soleil rouge de la Révolution qui se lève.
Je cherche une réussite, je n’en trouve pas. Ah, si, sur le plan personnel, naturellement.
Et donc, Sparker fait confiance et signe un chèque en blanc. L’autre feignant qui s’est couvert de ridicule post de 2005 avec son absence de plan B a tout de m^me eu 12 ans pour le concevoir. Et je cherche : ’on s’alliera avec les autres gauches européennes’. Le groupe de la néogauche au Parlement Européen ? 54 membres sur 785 députés. Ca n’a rien de populaire. Et on ose parler de rapport de force !