Merci à l’auteur pour avoir prudemment pesé sa conclusion ... qui laisse place au boycott du scrutin ! :
"réfléchissez-y si vous compter voter pour un candidat qui souhaite
conserver l’euro : en votant pour lui, vous commettriez un acte
suicidaire. Vous êtes prévenus."
En effet, laisser au lecteur cette liberté de ne pas veauter ( avant de le considérer comme un ’prévenu’ - En droit français, le prévenu est la personne, physique ou morale, faisant l’objet des poursuites judiciaires,
- non : là c’est juste un jeu de mot de ma part pour plaisanter !) ...
c’est éviter le piège des tromperies par réduction-rétrécissement des enjeux et possibilités qui se présentent à chaque citoyen.
Suffirait-il qu’un candidat propose la meilleure solution mathématique à une problématique économique pour qu’il devienne de facto Celui que tout bon cowboy devrait vouloir voir incarner 66 millions d’âmes ?
Et l’on pourrait remplacer le cas économique par toute autre genre de problématique : restera la malhonnêteté de la ’vente liée’ ( exemple : Sous prétexte que vous tenez absolument à acheter un ordinateur donné, on vous oblige, pour l’acquérir, à acheter aussi un système d’exploitation qui ne vous intéresse pas )
Cautionner le ’choix’ d’un incarneur (ou incarneuse) de toute la France et des petits Français ( en lui donnant en prime, entre autres, l’accès au bouton nucléaire) c’est une décision et un acte bien plus grave que de choisir une option économique !
Et puis si l’on tient vraiment à une option ou une action politique particulière,
pourquoi se confiner à une seule et unique procédure imposée. Pourquoi s’interdire l’imagination de nouveaux moyens ?
Il n’y a pas que La Présidentielle dans la vie ! Ne réfléchir et n’agir qu’une fois tous les 5 ans, de façon minimaliste, en veautant ? Très peu pour moi.
(rappel d’une piste beaucoup plus puissante que le référendum d’initiative populaire :
des ’cahiers de doléances’ modernisés à concevoir collaborativement ...)