@mac
Bonjour.
D’accord avec vous sur les « pantins des banques » et sur la déception systématique de l’électorat après les élections générales (à l’exception de la haute société qui tire profit des trahisons successives).
La réponse à votre question est excessivement simple : rien. D’ailleurs je ne vois pas pourquoi vous m’interrogez sur ce point (néanmoins, c’est votre droit le plus strict) : croyez-vous que du fait qu’on critique en mauvaise part Donald Trump, l’on soit nécessairement favorable à son ex-rivale ? D’après tout ce que j’ai pu lire à leur sujet, Clinton, son mari et plusieurs personnes dans leur proche entourage sont des bandits qui devraient être traînés devant les tribunaux, sous de multiples chefs d’accusation dont les plus graves (il en va de même pour Obama, Bush fils, Rumsfeld, Rice, Albright et d’autres peut-être pires). Mais qu’attend donc le président Trump pour ester contre madame Clinton, comme il l’avait promis ? La saint-glinglin ? Le problème est que si l’on se mettait à juger les anciens présidents des Etats-Unis et les membres de leur gouvernement pour les crimes commis - ce qui n’arrivera jamais -, il y aurait très rapidement la queue devant la chaise électrique. Et Donald Trump, au vu de son début de mandat, risquerait d’aller l’augmenter lui-même (je rappelle que les bombardements états-uniens qui ont lieu actuellement sur Mossoul, en Irak du Nord, sont extrêmement meurtriers et que rien ne semble avoir été prévu par les autorités militaires US pour épargner le plus possible la population civile). Je crois avoir lu quelque part que depuis qu’il s’est installé à la Maison Blanche, Trump a renoncé publiquement à poursuivre l’agitée du bocal démocrate : c’était en effet plus prudent... Il n’en avait d’ailleurs probablement jamais eu l’intention.