@njama
Il
se fout du monde le Zeinab
avec
ses statistiques comparées. Ce n’est pas une question de quantité,
c’est une question de qualité. Dans la bible tout est critiquable,
car tout est d’origine humaine. Dans le coran rien n’est
critiquable, car tout est d’origine divine. C’est là
toute la différence
et ça change tout.
Quand
le coran dit : « Certes,
ceux qui ne croient pas à Nos Versets (le
coran),
Nous (Dieu)les
brûlerons bientôt dans le feu.
Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, Nous leur
donnerons d’autres peaux en échange afin qu’ils goûtent au
châtiment »,
un
musulman ne peut l’interpréter dans le style :
« Le gars qui a écrit ça venait de se faire refiler un
chameau boiteux par un maquignon chrétien et ça l’a mis en rogne.
Pour autant, il n’est pas absolument certain que Dieu
veuille vraiment rôtir tous les chrétiens ».
Non, un bon musulman doit au contraire accepter ce texte comme une
vérité divine indiscutable et en tirer les conséquences logiques,
en particulier que les musulmans sont infiniment supérieurs aux
infidèles, et qu’ils peuvent en faire ce que bon leur semblent ;
les tuer, les asservir, éventuellement les traiter en dhimmis si
c’est profitable, voire leur chanter la berceuse de la taqiya si le
moment n’est pas encore venu d’agir en maîtres ; peu
importe puisque ces criminels qui rejettent Dieu sont voués à
l’enfer.
Alors
comment les non-musulmans peuvent-ils vivre en harmonie avec les
musulmans ? Hé bien, ils ne le peuvent pas. C’est impossible.
Toute l’Histoire le démontre, la situation en France le confirme.
La seule manière de vivre en paix avec les musulmans serait que
chacun reste chez soi, derrière des frontières bien établies,
choisissant librement son mode de vie et renonçant à l’imposer
aux autres. En théorie, il serait simple d’atteindre ce but. Il
suffirait d’abaisser le pouvoir exorbitant de ces
malfaiteurs internationaux qui tentent d’assujettir les pays
musulmans, tout en organisant l’afflux massif de musulmans en
Europe ; toujours pour gagner quelques dollars de plus, toujours
avec ce prétexte éventé : les droits de l’homme.