Déjà, dès le soir du 1er tour, les
banquiers ne se tenaient plus de joie.
Dès le soir du 1er tour, pour fêter
la victoire d’Emmanuel Macron, trois banquiers de la banque
Rothschild étaient au premier rang.
Lisez cet article du Canard Enchaîné :
Macron et ses groupies de la banque
Rothschild.
Dimanche 23 avril, deux associés
gérants de la banque d’affaires Rothschild, avec lesquels Emmanuel
Macron a travaillé durant près de quatre ans (de septembre 2008 à
mai 2012), se pressent au premier rang du QG du Parc des expositions,
porte de Versailles, pour filmer avec leurs téléphones portables
l’arrivée du vainqueur du premier tour.
Accompagné de Laurent Baril, star des
fusions-acquisitions de la banque d’affaires, Olivier Pécoux,
co-président du comité exécutif du groupe Rothschild & Co, est
un brin gêné d’être repéré par une journaliste du Canard
Enchaîné.
« Je suis ici incognito »,
insiste le bras droit de David de Rothschild, alors qu’il fait partie
des récidivistes. Le 13 juillet 2016, Olivier Pécoux avait déjà
assisté au premier meeting parisien d’Emmanuel Macron.
Ce 23 avril, Baril et Pécoux
retrouvent un ancien camarade de la maison Rothschild : Lionel
Zinsou, ex-conseiller de Laurent Fabius à Matignon et ex-premier
Ministre du Bénin.
Les trois banquiers s’émerveillent à
l’idée que Macron, qu’ils ont connu « bébé », puisse
l’emporter. Il serait le second Rothschild, après Georges Pompidou,
à gravir sous la Ve République les marches de l’Elysée.
L’Histoire – et les vraies gens –
en marche …
Source : Le Canard Enchaîné,
mercredi 26 avril, page 2.
Rappel :
Jean Lemierre, le patron de la banque
BNP Paribas, était pour Macron.
Frédéric Oudéa, le patron de la
banque Société Générale, était pour Macron.
François Pérol, le patron de la
banque Banque Populaire - Caisse d’Epargne, était pour Macron.
Dominique Lefebvre, le patron de la
banque Crédit Agricole, était pour Macron.
Bernard Arnault, le patron de LVMH,
était pour Macron.
Jean-Paul Agon, le patron de L’Oréal,
était pour Macron.
Martin Bouygues, le patron de Bouygues,
était pour Macron.
Serge Dassault, le patron de Dassault,
était pour Macron.
Arnaud Lagardère, le patron de
Lagardère, était pour Macron.
Tous les banquiers, tous les grands
patrons du CAC 40 était pour Macron.
En plus de tous ces collabos, la grande
patronne de l’Union Européenne Angela Merkel était pour Macron.
La chancelière allemande Angela Merkel
a indiqué dans un entretien à des journaux allemands qu’elle
souhaitait l’élection du candidat centriste Emmanuel Macron en
France, qui serait un « président fort ».
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/04/28/97001-20170428FILWWW00322-merkel-confiante-que-macron-sera-un-president-fort-s-il-est-elu.php