@moderatus
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« Il serait plus intéressant si votre analyse vous la faisiez partager pour éviter à certains de retomber dans ce piège pour les législatives par exemple, parce que la même comédie va recommencer. »
Et bien c’est ce que j’ai tenté de faire en vous répondant comme c’est ma volonté dans la quasi totalité de mes commentaires.
Ce qui induit plusieurs remarques (personnelles)
1) Malheureusement je ne suis qu’un modeste « commentateur » d’un modeste média « alternatif » .
Si je disposais par exemple de la « puissance de feu » d’un Christophe Barbier (un nom pris au hasard parmi....), et si tous ceux qui pensent (à peu près) comme moi étaient autorisés à squatter les plateaux TV, les « matinales » des radios nationales, les colonnes de l’Immonde, de Match, de Libé, etc. alors.... ???!
2- apparemment je me suis mal expliqué ou de façon trop métaphorique car il semblerait que vous n’ayez pas perçu l’importance capitale de la notion de « cause... des causes ».
Je vais donc utiliser un langage plus concret et plus direct.
Aussi longtemps que vous ne rechercherez QUE les « causes » au travers de « constats » (dont je partage globalement les conclusions), vous ne verrez pas LA « cause originelle » qui génère les « causes induites » .
Le « concept » de ce prétendu « suffrage universel » est cette « cause des causes ».
Il est organisé de façon délibérée pour aboutir à « la mise aux manettes » d’un valet au service des « puissants ».
C’est « un jeu » dont ils ont eux-même rédigé « les règles » (La Constitution).
Il est bien évident que non seulement ils n’allaient pas écrire des règles « défavorables » (pour eux) mais qu’en prime, ils les font évoluer dans le sens qui les arrange.
Le « piège » principal étant la stratégie du « diviser pour régner » grâce à un (faux) clivage droite gauche, grâce aux partis (qui nous « jettent les uns contre les autres »), grâce à une mise en opposition permanente par « la peur » des « français » contre les immigrés, des jeunes contre les vieux, du privé contre le public, des actifs contre les chômeurs, des hommes contre les femmes, etc.
La force de ceux qui gagnent des millions (milliards) d’euros est de réussir à faire croire à ceux qui en gagnent des dizaines (centaines) de milliers que le problème vient de ceux qui gagnent... une misère !
Je crains que tant qu’une solution ne sera pas trouvée (collectivement) pour s’attaquer efficacement à cette « cause des causes » (en écrivant NOUS-MÊMES des « nouvelles règles » [une nouvelle Constitution]) le résultat se reproduira ad vitam aeternam à l’identique (ou en pire).
Et pour cela, il me semble nécessaire de participer chacun à son petit niveau à un « éveil des consciences » sans lequel rien ne sera jamais possible.