Contrairement à ce que comprend l’auteur par Social-Libéralisme,
celui-ci tout en se prononçant pour le libéralisme politique compris comme
étant le meilleur moyen permettant l’expression libre et volontaire des choix
politiques du corps électoral, n’est pas pour autant
pour le libéralisme économique à la SAY : laisser
faire, laisser passer, qui en fait n’est applicable complètement dans aucun
pays au monde.
Le Social-Libéralisme est avant tout une sagesse
politique pragmatique qui croît en les
ressources propres de la société de personnes libres, tout en s’adossant sur un
Etat fort devant prendre en charge la solidarité et la redistribution d’une
partie des richesses produites à l’avantage des petites gens.
En plus de ses fonctions régaliennes à
maintenir coûte qu coûte : frappe de monnaie, sécurité, défense nationale et
affaires étrangéres, redistribution des richesses via la fiscalité et des
subventions ciblées, développement de niches de créativité et l’intelligence
collectives ;
L’Etat est aussi régulateur dans la finance
privée ou mixte, la protection sociale, la santé, l’éducation, l’habitat, la protection
de l’environnement, les transports publics, le développement territorial équilibré,
le niveau général des prix des produits, etc.
La régulation doit être intelligente dans sa conception et
efficace dans ses points d’application, pour ne pas brider les initiatives
publiques et privées et celles hybrides de partenariat public/privé