En voila un qui fait déjà du -32 ! C’est ce que l’on appelle la « liberté d’expression » sibérienne.
Et, alors qu’on voit passer ce genre de pamphlets à répétition, Agoravox a censuré la semaine dernière un article qui n’allait pas « dans le bon sens ». Imaginez, il s’en prenait entre autres à Bayrou, à la Trilatérale et à l’Eglise :
http://blog.360.yahoo.com/blog-hemwnYcgbq_SQcISKczR?p=79
François Bayrou, candidat entre deux eaux et à coloration variable
« Tous contre Bayrou », titre la une du Journal du Dimanche. Le candidat de l’UDF se présente comme une cible traquée. S’agirait-il d’un révolutionnaire ? Pour l’UMP, « Bayrou fait du Sarkozy en moins bien ». Le sénateur socialiste Jean-Marie Bockel n’est pas opposé à l’idée d’un gouvernement d’union nationale défendue par l’UDF. Mais le citoyen peut demander : l’union nationale, pour quoi faire ? François Bayrou s’en prend à une « guerre perpétuelle » entre le PS et l’UMP qui accablerait le pays. Cependant, la continuité de la politique française depuis trois décennies, au milieu de cohabitations et d’alternances, semble infirmer ces propos. Sur l’essentiel, les médias parlent peu de la politique que préconise vraiment François Bayrou et des intérêts qu’il représente. Y a-t-il vraiment une différence entre la « droite », la « gauche » et le « centre » ? Le candidat de l’UDF n’est, semble-t-il, ni de « droite », ni de « gauche », mais tout le contraire. Seulement, en quoi incarnerait-il une rupture avec la « politique unique » ?
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