"La possession d’un Numéro de Sécurité Sociale est connu dans
le code de la Couronne comme une « preuve formelle » que nous avons
accepté [la notion de] bénéfices commerciaux fédéraux. Voilà un autre
exemple de lien capitalistique avec la Couronne.
La
présentation de notre Numéro de Sécurité Sociale à un employeur
officialise notre statut de contribuable, avec, en échange, un
engagement à payer des taxes à la Couronne.
Par le
Numéro de Sécurité Sociale, nous acceptons de bénéficier ultérieurement
d’une retraite. La Sécurité Sociale est un drôle d’animal. Si vous
décédez, votre conjoint ne touchera rien, mais par contre, ce qui vous
était dû est divisé (perdu) entre les autres cotisants encore vivants.
Mais
la Couronne considère l’absence de réciprocité dans tous ces
engagements comme un vol et agira contre nous en réparation du préjudice
dû.
Pour qu’on puisse échapper aux tentacules de cette
pieuvre qu’est la Couronne, il faut procéder à une étude approfondie de
la jurisprudence. Il faudrait être considéré comme "étranger à la chose
publique« ( »stranger to the public trust"), perdre tous les bénéfices
liés à l’émancipation et clore tous ses comptes bancaires, parmi
d’autres actions.
Il faudrait que la citoyenneté soit
annulée et perdue et décréter le statut d’« étranger » (« denizen »). Si des
gens ont réussi à franchir ce barrage de feu, j’aimerais bien avoir de
leurs nouvelles.
Les États-Unis d’Amérique sont une entreprise, gérée par la Couronne britannique et le Vatican"
Ce qui est dit au sujet de la corporation des Etats-Unis est tout autant valable pour les républiques européennes depuis que les états sont devenus des corporations privées enregistrées auprès de la SEC américaine (security & exchange commission) contrôlée et dirigée par la City de Londres (la Couronne), à la tête de laquelle on retrouve-quelle coïncidence-la dynastie sataniste des Rothschild.