@Zolko
Si j’ai terminé mon commentaire en disant que la subtilité est extrême tout comme sa simplicité, c’’est en connaissance de cause.
les banquiers disant que « : le principe de création monétaire par la réserve fractionnaire crée mathématiquement plus de dettes que d’avoirs. » prouve soit qu’ils se foutent de votre gueule, soit qu’ils ne comprennent pas eux mêmes les subtilités de la création monétaire. Pour le commun des petits banquiers, je penche pour la seconde solution, l’autre étant réservé à la crème de la crème, bien que la réponse est d’une évidence et simplicité élémentaire .
Je vous l’ai pourtant écrit et au lieu de tilter dessus, vous n’y avez vu que du feu.
ainsi j’écris « toute monnaie contient une face créance et une face dette » C’est la règle d’or de toute comptabilité !
Cela signifie que peu importe le taux d’intérêt, l’équilibre entre créance et dette est inhérent à la création monétaire elle même et ceci, en équilibre. Toute création monétaire crée autant de dette que d’avoir, la différence ou subtilité, c’est que si l’avoir est toujours nominatif, la dette ne l’est pas systématiquement, c’est à dire, qu’elle porte sur tous ceux qui sont en manque de réserve monétaire. Le paradoxe est alors que la dette lié au système de création par la réserve fractionnaire ou dette de crédit, est infiniment moindre que la dette lié à la création par la monnaie de réserve ou monnaie de dépôt. Mais en vous cachant ce tout petit « détail », cela permet de vous faire voir l’arbre et non la forêt !
C’est seulement à partir de là qu’on peut comprendre la politique monétaire des grands argentiers.
ce n’est donc pas plus de dette qui est crée, mais plus de dette ET d’avoirs. Mais surtout, cette cavalerie n’est absolument pas lié au système de réserve fractionnaire en lui même, mais uniquement à l’intérêt. Autrement dit, sans l’intérêt, il n’y aurait pas de cavalerie. Or, le principe de l’intérêt usuraire est lié au système capitaliste, fait dans l’unique but de permettre la prise illégitime d’intérêt sur tous les échanges économiques et qui est la raison de la nécessité de croissance et de l’accumulation de dette d’un coté et de créance de l’autre.