@sweach
"Votre article reprend des notions qui ne sont pas
celle de la gauche, donc restons juste sur l’aveuglement idéologique."
Pas de mon point de vue, la gauche manifeste depuis sa
création une volonté de s’affranchir de la morale traditionnelle/chrétienne au
profit de bonheur individuel. « Les droits de l’homme » sont le socle
d’une idéologie profondément individualiste, généralement soutenue par la gauche,
détachée de la notion de « devoir » et de la nécessité de servir de le
bien commun.
Il me semble important de distinguer le socialisme (qui milite pour
améliorer
les conditions économiques de la population) de la gauche. Le socialisme
est la
« bonne conscience » de la gauche sur le plan économique. Mais sur le
plan culturel, la gauche est fondamentalement individualiste. Pour
approfondir,
je vous recommande cet article :
https://comptoir.org/2016/02/26/jean-claude-michea-la-gauche-doit-operer-un-changement-complet-de-paradigme/
"Après sur la forme la notion de « races
humaines » fait un peu tiquer mon coté scientifique, car sur le plan
biologique nous ne possédons pas suffisamment de disparité pour parler de
« races », on peut parler de peuple ou d’ethnie, mais pas de race
nous avons que l’espèce humaine. "
Oui, la notion d’ethnie est relativement pertinente (mais je
condamne fermement l’usage du terme « population »). Néanmoins, je
persiste à utiliser le mot race car je pense que nos disparités sont suffisamment
nombreuses. La différence raciale entre un « berger australien » et un "border
collie" est-elle valide scientifiquement ? Leurs différences sont-elles
plus nombreuses et importantes que les différences entre un pygmée et un
suédois ? De quelles disparités parle-t-on ?