@zygzornifle
Jusqu’à présent
les hackers, ou bien ne se sont pas intéressés aux blockchains ou
bien n’ont pas réussi à vaincre leur principe essentiel de
résistance qui est la répétition des données sur plusieurs sites
indépendants.
Car il leur faut,
aux pirates, en percer une majorité pour que les donnée soient
modifiées.
Alors, c’est vrai,
tous les grands programmes connaissent des failles et la NSA ainsi
que les hackers privés (et sans doute d’autres agences
gouvernementales) ont réussi à hacker les programmes comme
actuellement avec de vieux programmes Windows.
Mais cela ne donne
pas la certitude qu’ils y parviendront toujours. Car le décryptage
demande toujours des moyens plus considérables que le codage.
On en a un exemple
historique avec Enigma, petite machine portable, qui n’a pu être
décryptée qu’avec la faute des services allemands de météorologie
dont les messages commençaient toujours par « Mein general », la
capture de machines sur deux sous-marins allemands et l’énorme
machine à tester les combinaisons de Bletchey Park entourée de
dizaines de spécialistes, plus de génie de Turing et de quelques
autres.
Il se pourrait bien
que la cryptographie quantique par satellite sur laquelle les Chinois
travaillent avec des moyens énormes, fournissant la « graine »
d’une clé secrète réellement aléatoire, rende le décryptage
pirate impossible à l’avenir aussi bien des données que des
programmes cryptés sur le disque dur ou la clé USB amovible.