Les entretiens avec Vladimir Poutine confirment s’il est besoin le riche héritage russe « notre peuple s’est battu jusqu’à la dernière goutte de son sang, pas jusqu’à son dernier kopek », la finesse, la grande culture, l’humanité, la patience et la politesse de ce personnage hors du commun, mais les réactions occidentales montrent aussi l’arrogance et la bassesse d’une pseudo presse d’un ex-pays des Lumières Factices.
Et rien que sur cet aspect-là, humainement parlant, on voit qui est gagnant et qui est perdant. La dichotomie s’impose. Non, il n’y a pas cinquante nuances de gris, juste une marge de gris dans laquelle se situe Oliver Stone, disons que pour un yankee il est plutôt « pas mal ». le reste est blanc ou noir.
Quant aux journaleux à la bave venimeuse, parler d’éthique journalistique serait très incongru, souhaitons- leur de retrouver, peut-être, dans la mort, un peu de dignité, car pour ce qui est de leur vie misérable, c’est définitivement foutu. Et quand on touche le fond, on creuse encore !
Je retiens un moment délicieux, alors que je n’ai pas eu encore le temps de tout regarder : « chez vous, ce qui est très curieux, les présidents changent mais pas la politique, en tous cas pas sur les questions de principe. »
Le tout dit d’une ingénuité, digne du Petit Prince de St Exupéry.
Parfaitement cher président Poutine, ils le disent eux-mêmes sans vergogne… ( Sarkozy droite- Hollande gauche : sur l’essentiel nous sommes d’accord, in crimes sans châtiment, de Jean-Loup Izambert, 2013).
Comme il l’exprime si bien aussi : « les peuples qui peuvent jouir de leur indépendance et de leur souveraineté se comptent sur les doigts de la main ». En effet l’occident décadent est hors jeu. Et être à des années-lumière, n’aide pas à comprendre.
Adalia.
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