@Cateaufoncel
Arriver, décider que l’organisation sociale que l’on trouve sur place n’est pas la bonne et tenter de la remplacer par la « bonne ». Au lieu que les sociétés autochtones s’adaptent au monde qui change à travers leur prisme, leurs propres évidences, les nouveaux arrivant les détournent de leurs propres « rails » et imposent les leurs - rails, prisme, évidences. Et on s’étonne que ça ne marche pas. On évite pourtant de parler de pillage et du maillage du continent pour des intérêts exogènes
Le résultat ce n’est pas la « surpopulation » comme le prétendent ceux qui n’ont toujours pas compris qu’ils doivent cesser de penser pour les autres. Phallanx et toi regardez toujours l’Afrique bardés de vos évidences et certitudes, et non comme des gens autonomes doués de leur « raison ».
Sans les Blancs, les africains seraient toujours esclavagistes, cannibales, etc, les poncifs habituels justifiant la « mission civilisatrice ». On dit qu’ils y eu des empires, des royaumes, petits ou grands, exactementcomme partout ailleurs dans le monde. Pas plus bons ou mauvais que les autres. Bref, pour vous, les Blancs sont les sauveurs de l’Afrique. C’est d’ailleurs l’esprit de l’article.
Mais je m’inscris en faux contre les fadaises de l’auteur et celles de Micron revisitant le « devoir de civiliser » en attaquant le ventre des Africaines au lieu de mettre fin à ce qui génère la misère chez ces femmes.
Les colons paient le prix de leur complexe de supériorité et évidemment leur manque de vision, voilà tout. C’est le retour de boomerang.
Tu sais que tu es marrant, parce que trop concentré sur ta démolition de l’Afrique. Or pour réaliser les énormes ponctions dans les populations africaines, il fallait bien qu’il y ait du monde. Sinon, où trouver les esclaves si le continent était vide. C’est bien le ventre des femmes africaines que Micron insulte aujourd’hui, qui enrichissait ses ancêtres.